mercredi 1 juin 2016

La vie est facile, ne t'inquiète pas ★★★☆☆ d'Annie Martin-Lugand

Edition : Michel LAFON - Date de parution : avril 2015
320 pages

Les Thèmes : amour, deuil, amitié


Résumé de l'éditeur


« Alors que j’étais inconsolable, il m’avait mise sur le chemin du deuil de mon mari. J’avais fini par me sentir libérée de lui aussi. J’étais prête à m’ouvrir aux autres. »
Depuis son retour d’Irlande, Diane a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de son ami Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire. C’est là, aux Gens heureux lisent et boivent du café, son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné et surtout il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car Diane sait qu’elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.

Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s’effondrer les unes après les autres.

Aura-t-elle le courage d’accepter un autre chemin ?

Agnès Martin-Lugand est l’auteur des best-sellers Les gens heureux lisent et boivent du café et Entre mes mains le bonheur se faufile. Le premier s’est vendu à plus de 300 000 exemplaires en France et sera bientôt adapté au cinéma. "La vie est facile, ne t’inquiète pas" en est la suite.

Mon avis  ★★★☆☆

Un roman empreint d'humanité, les personnages y sont attachants mais un peu trop caricaturaux à mon goût. 
L'écriture est fluide, la lecture facile, le style simple. Lu d'une traite.
Je l'ai préféré au premier tome "Les gens heureux lisent et boivent du café".
Faire le deuil de son mari et de son enfant n'est pas chose aisée, une épreuve difficilement surmontable.
Ce roman donne à réfléchir, il est une belle leçon de courage et de Vie, mais ce n'est pas mon style  littéraire. 

Citations & Extraits


"Chaque décision imposait des pertes, d’abandonner des morceaux de sa vie derrière soi."
"La vie n'avait épargné personne à cette table (...). Et pourtant, chacun faisait en sorte de rebondir, de vivre avec, de se contenter de petits moments heureux; un mélange d'instinct de survie et de fatalité. Ils m'avaient accueillie avec mes casseroles, et continuaient à le faire. J'étais parmi eux et j'étais bien."
"Il m’attrapa délicatement par la taille, me rapprocha de lui, et enfouit son visage dans mes cheveux en soupirant. Impuissants face à ce qui nous arrivait, nous faisions exploser toutes les mesures de protection."
"Nous avions réussi à créer une famille heureuse de gens brisés, abîmés, et nous allions bien..." 

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